Versets Bibliques sur Trust
Bible verses about Trust
Dans un monde souvent caractérisé par l'incertitude, le concept de confiance émerge comme une ancre inébranlable, un phare d'espoir illuminé par la sagesse intemporelle de l'Écriture. Explorer les versets bibliques sur la confiance est plus qu'un simple exercice intellectuel ; c'est une invitation à approfondir notre relation avec le Divin. Ces versets offrent des insights profonds sur la nature de la fidélité de Dieu et fournissent une guidance pratique pour naviguer les défis de la vie avec une foi inébranlable. En comprenant et en appliquant ces vérités scripturaires, nous pouvons cultiver un esprit de dépendance envers Dieu, expérimentant Sa paix et Sa provision en toute circonstance, et découvrant le pouvoir transformateur d'une vie remise à Ses soins aimants.
Versets les Plus Utiles
Commencez votre étude avec ces passages soigneusement sélectionnés
Josué écrivit ces choses dans le livre de la loi de Dieu. Il prit une grande pierre, qu’il dressa là sous le chêne qui était dans le lieu consacré à l’Éternel.
Les fils du Kénien, beau-père de Moïse, montèrent de la ville des palmiers, avec les fils de Juda, dans le désert de Juda au midi d’Arad, et ils allèrent s’établir parmi le peuple.
Les gardes virent un homme qui sortait de la ville, et ils lui dirent : Montre-nous par où nous pourrons entrer dans la ville, et nous te ferons grâce.
Scripture Passages
Lorsqu’Israël fut assez fort, il assujettit les Cananéens à un tribut, mais il ne les chassa point.
Mais ils n’écoutèrent pas même leurs juges, car ils se prostituèrent à d’autres dieux, se prosternèrent devant eux. Ils se détournèrent promptement de la voie qu’avaient suivie leurs pères, et ils n’obéirent point comme eux aux commandements de l’Éternel.
Ces nations servirent à mettre Israël à l’épreuve, afin que l’Éternel sût s’ils obéiraient aux commandements qu’il avait prescrits à leurs pères par Moïse.
Le pays fut en repos pendant quarante ans. Et Othniel, fils de Kenaz, mourut.
En ce jour, Moab fut humilié sous la main d’Israël. Et le pays fut en repos pendant quatre-vingts ans.
Héber, le Kénien, s’était séparé des Kéniens, des fils de Hobab, beau-père de Moïse, et il avait dressé sa tente jusqu’au chêne de Tsaannaïm, près de Kédesch.
Périssent ainsi tous tes ennemis, ô Éternel ! Ceux qui l’aiment sont comme le soleil, Quand il paraît dans sa force. Le pays fut en repos pendant quarante ans.
La main de Madian fut puissante contre Israël. Pour échapper à Madian, les enfants d’Israël se retiraient dans les ravins des montagnes, dans les cavernes et sur les rochers fortifiés.
Gédéon lui dit : Si j’ai trouvé grâce à tes yeux, donne-moi un signe pour montrer que c’est toi qui me parles.
L’Éternel dit à Gédéon : Le peuple que tu as avec toi est trop nombreux pour que je livre Madian entre ses mains ; il pourrait en tirer gloire contre moi, et dire : C’est ma main qui m’a délivré.
Ceux qui lapèrent l’eau en la portant à la bouche avec leur main furent au nombre de trois cents hommes, et tout le reste du peuple se mit à genoux pour boire.
Gédéon monta par le chemin de ceux qui habitent sous les tentes, à l’orient de Nobach et de Jogbeha, et il battit l’armée qui se croyait en sûreté.
Il dit : C’étaient mes frères, fils de ma mère. L’Éternel est vivant ! si vous les eussiez laissés vivre, je ne vous tuerais pas.
Et le buisson d’épines répondit aux arbres : Si c’est de bonne foi que vous voulez m’oindre pour votre roi, venez, réfugiez-vous sous mon ombrage ; sinon, un feu sortira du buisson d’épines, et dévorera les cèdres du Liban.
Le roi des fils d’Ammon répondit aux messagers de Jephthé : C’est qu’Israël, quand il est monté d’Égypte, s’est emparé de mon pays, depuis l’Arnon jusqu’au Jabbok et au Jourdain. Rends-le maintenant de bon gré.
Mais Sihon n’eut pas assez confiance en Israël pour le laisser passer sur son territoire ; il rassembla tout son peuple, campa à Jahats, et combattit Israël.
Un ange de l’Éternel apparut à la femme, et lui dit : Voici, tu es stérile, et tu n’as point d’enfants ; tu deviendras enceinte, et tu enfanteras un fils.
Maintenant prends bien garde, ne bois ni vin ni liqueur forte, et ne mange rien d’impur.
Mais il m’a dit : Tu vas devenir enceinte, et tu enfanteras un fils ; et maintenant ne bois ni vin ni liqueur forte, et ne mange rien d’impur, parce que cet enfant sera consacré à Dieu dès le ventre de sa mère jusqu’au jour de sa mort.
Elle ne goûtera d’aucun produit de la vigne, elle ne boira ni vin ni liqueur forte, et elle ne mangera rien d’impur ; elle observera tout ce que je lui ai prescrit.
Et il leur dit : De celui qui mange est sorti ce qui se mange, et du fort est sorti le doux. Pendant trois jours, ils ne purent expliquer l’énigme.
Les gens de la ville dirent à Samson le septième jour, avant le coucher du soleil : Quoi de plus doux que le miel, et quoi de plus fort que le lion ? Et il leur dit : Si vous n’aviez pas labouré avec ma génisse, vous n’auriez pas découvert mon énigme.
Les Philistins dirent : Qui a fait cela ? On répondit : Samson, le gendre du Thimnien, parce que celui-ci lui a pris sa femme et l’a donnée à son compagnon. Et les Philistins montèrent, et ils la brûlèrent, elle et son père.
Il rendit à sa mère les mille et cent sicles d’argent ; et sa mère dit : Je consacre de ma main cet argent à l’Éternel, afin d’en faire pour mon fils une image taillée et une image en fonte ; et c’est ainsi que je te le rendrai.
Il rendit à sa mère l’argent. Sa mère prit deux cents sicles d’argent. Et elle donna l’argent au fondeur, qui en fit une image taillée et une image en fonte. On les plaça dans la maison de Mica.
Les cinq hommes partirent, et ils arrivèrent à Laïs. Ils virent le peuple qui y était vivant en sécurité à la manière des Sidoniens, tranquille et sans inquiétude ; il n’y avait dans le pays personne qui leur fît le moindre outrage en dominant sur eux ; ils étaient éloignés des Sidoniens, et ils n’avaient pas de liaison avec d’autres hommes.
Et les fils de Dan continuèrent leur route. Mica, voyant qu’ils étaient plus forts que lui, s’en retourna et revint dans sa maison.
Ils enlevèrent ainsi ce qu’avait fait Mica et emmenèrent le prêtre qui était à son service, et ils tombèrent sur Laïs, sur un peuple tranquille et en sécurité ; ils le passèrent au fil de l’épée, et ils brûlèrent la ville.
Son beau-père, le père de la jeune femme, le retint trois jours chez lui. Ils mangèrent et burent, et ils y passèrent la nuit.
Le quatrième jour, ils se levèrent de bon matin, et le Lévite se disposait à partir. Mais le père de la jeune femme dit à son gendre : Prends un morceau de pain pour fortifier ton cœur ; vous partirez ensuite.
Le mari se levait pour s’en aller ; mais, sur les instances de son beau-père, il passa encore la nuit.
Le mari se levait pour s’en aller, avec sa concubine et son serviteur ; mais son beau-père, le père de la jeune femme, lui dit : Voici, le jour baisse, il se fait tard, passez donc la nuit ; voici, le jour est sur son déclin, passe ici la nuit, et que ton cœur se réjouisse ; demain vous vous lèverez de bon matin pour vous mettre en route, et tu t’en iras à ta tente.
Les fils de Benjamin regardaient comme battus les hommes d’Israël, qui cédaient du terrain à Benjamin et se reposaient sur l’embuscade qu’ils avaient placée contre Guibea.
En ce temps-là, les Benjamites revinrent, et on leur donna les femmes à qui l’on avait laissé la vie parmi les femmes de Jabès en Galaad. Mais il n’y en avait pas assez pour eux.
Puis elle se leva, elle et ses belles-filles, afin de quitter le pays de Moab, car elle apprit au pays de Moab que l’Éternel avait visité son peuple et lui avait donné du pain.
Naomi dit alors à ses deux belles-filles : Allez, retournez chacune à la maison de sa mère ! Que l’Éternel use de bonté envers vous, comme vous l’avez fait envers ceux qui sont morts et envers moi !
Que l’Éternel vous fasse trouver à chacune du repos dans la maison d’un mari ! Et elle les baisa. Elles élevèrent la voix, et pleurèrent ;
Et elles élevèrent la voix, et pleurèrent encore. Orpa baisa sa belle-mère, mais Ruth s’attacha à elle.
Naomi dit à Ruth : Voici, ta belle-sœur est retournée vers son peuple et vers ses dieux ; retourne, comme ta belle-sœur.
Ainsi revinrent du pays de Moab Naomi et sa belle-fille, Ruth la Moabite. Elles arrivèrent à Bethléhem au commencement de la moisson des orges.
En essence, les enseignements de la Bible sur la confiance mettent l'accent sur une foi inébranlable dans le caractère, la sagesse et les promesses de Dieu. Les versets explorés soulignent la futilité de se fier uniquement à la force humaine, aux possessions matérielles ou à la compréhension personnelle. Au contraire, ils encouragent une soumission humble à la guidance divine, promettant paix, sécurité et provision à ceux qui placent leur confiance complète dans le Seigneur. Réfléchir à ces Écritures nous appelle à examiner les fondations de notre propre confiance. Où plaçons-nous notre sécurité ? Cédons-nous vraiment le contrôle à Dieu ? En méditant constamment sur ces versets et en les appliquant activement à notre vie quotidienne, nous pouvons cultiver une foi plus profonde et plus résiliente qui résiste aux tempêtes de la vie et nous conduit à une relation plus riche avec notre Créateur. Que ces paroles soient un rappel constant de faire confiance au Seigneur de tout votre cœur et de ne pas vous appuyer sur votre propre intelligence ; en toutes vos voies, reconnaissez-le, et il aplanira vos sentiers.